La CNIL va chaperonner pendant six mois Docaposte, Doctrine, la Française des Jeux et ShareID. L’autorité assurera un accompagnement sur mesure pour la bonne application de la réglementation sur la protection des données.
Baptisée Enclave Security, cette solution, développée par Tenable et destinée aux organisations hautement sécurisées, évalue et analyse les actifs IT et les conteneurs dans le but de prévenir les cyberattaques.
L’opérateur assure avoir clôturé l’incident. Cependant, le(s) pirate(s) ont eu accès à de nombreuses données sensibles, telles que les noms, prénoms, IBAN, et coordonnées clients.
Il est reproché à l’éditeur d’avoir traité des données de santé non anonymes sans autorisation, dans le but de produire des études et des statistiques.
Un rapport signé Cohesity révèle qu’une très large majorité des entreprises françaises continue de payer les rançons en cas d’attaque par ransomware, malgré une politique affichée de non-paiement. Contacté par L'Informaticien, François-Christophe Jean, directeur technique France chez Cohesity, nous en dit plus.
La cyberattaque survenue le dimanche 8 septembre a perturbé la publication de titres de presse comme La Croix.
Patrowl propose une solution de sécurité offensive as-a-service qui vise à améliorer la gestion et la sécurisation de l'exposition de ses clients sur Internet.
Des centaines de milliers de clients de l’enseigne Boulanger ont été touchés par une fuite de données suite à une cyberattaque survenue ce week-end. Si aucune donnée bancaire n’a fuité, la légèreté de Boulanger interroge.
Cette acquisition doit permettre à Salesforce de fournir des solutions de gestion sécurisées de bout en bout en renforçant la sécurité des données critiques et en prévenant les pertes de données.
Le fournisseur de coffre-fort numérique compte renforcer ses équipes de vente et de développement et investir dans la R&D.
Le cofondateur de la messagerie cryptée Telegram avait été arrêté le samedi 24 août à l’aéroport du Bourget, dans le cadre d’une information judiciaire comportant pas moins de 12 chefs d’accusation.
Les chercheurs en cybersécurité de Proofpoint soupçonnent que ce malware soit utilisé à des fins d’espionnage.
