Facebook

  • Meta menace de priver l’Europe de Facebook et Instagram

    Dans un document remis au gendarme amĂ©ricain des marchĂ©s financiers, Meta Ă©voque un Ă©ventuel retrait d’Europe si le vieux continent ne se dote pas d’un cadre plus favorable au transfert des donnĂ©es.  

  • Meta met de l’AR/VR dans Messenger

    L’application Messenger se dote de nouvelles fonctionnalitĂ©s de rĂ©alitĂ© augmentĂ©e dans les appels de groupe et les Messenger Rooms, tandis que, dans les applications Quest, les appels Messenger arriveront sans tarder.

  • Meta paye 90 millions de dollars pour mettre fin Ă  des poursuites

    Meta Ă©tait accusĂ© d’avoir espionnĂ© des utilisateurs de Facebook et ce mĂȘme aprĂšs leur dĂ©connexion du rĂ©seau social.

  • Meta quitte le TOP 10

    AprĂšs avoir subi de nombreux revers cette annĂ©e, Meta a connu une chute de ses actions qui l’a Ă©jectĂ© du TOP 10 des entreprises les plus valorisĂ©es du monde.  

  • MĂ©ta rĂ©plique : Facebook et Instagram ne quitteront pas l’Europe

    La sociĂ©tĂ© mĂšre de Facebook et Instagram Ă  fermement dĂ©menti vouloir retirer certains de ses services d’Europe, et en profite pour rĂ©affirmer ses prĂ©occupations vis-Ă -vis du cadre transatlantique du transfert des donnĂ©es.

  • Metaverse : Facebook veut crĂ©er 10 000 emplois en Europe

    C’est un plan ambitieux qu’annonce le rĂ©seau social. L’entreprise de Mark Zuckerberg entend crĂ©er « 10 000 nouveaux emplois hautement qualifiĂ©s au sein de l'Union europĂ©enne au cours des cinq prochaines annĂ©es Â».

  • Meta : des rĂ©sultats en dents de scie

    En perte de vitesse, Meta a vu son bĂ©nĂ©fice net baisser de 21% au premier trimestre, par rapport Ă  l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente. L’entreprise reste malgrĂ© tout dans le vert.

  • Nouvelles attaques judiciaires contre Google

    Une trentaine d’États et territoires amĂ©ricains ont attaquĂ© Google pour abus de position dominante dans deux procĂšs distincts la semaine derniĂšre. Dans un contexte oĂč la domination des nouvelles technologies ainsi que les mĂ©thodes commerciales des acteurs leaders inquiĂštent l’appareil lĂ©gislatif amĂ©ricain.

    Google est Ă  nouveau sous les feux des projecteurs du judiciaire amĂ©ricain. DĂ©jĂ  accusĂ© d’abus de position dominante par le dĂ©partement de justice amĂ©ricain (DOJ) en octobre dernier, la firme de Mountain View voit poindre de nouveaux adversaires s’appuyant sur les arguments du DOJ pour Ă©tendre leurs accusations.

    Plus d’une trentaine d’États et territoires amĂ©ricains ont intentĂ© une action en justice contre l’entreprise pour abus de position dominante, jeudi 17 dĂ©cembre 2020, rapporte Associated Press, reprochant Ă  l’entreprise l’instauration illĂ©gale d’un monopole annihilant toute concurrence. Ces allĂ©gations suivent celles Ă©mises par le DĂ©partement de Justice amĂ©ricain Ă  l’encontre de l’entreprise, en octobre dernier.

    Mais ils ont dĂ©cidĂ© d’aller plus loin, levant de nouvelles accusations visant Ă  empĂȘcher Google de devenir un acteur dominant sur les secteurs des assistants domotiques ou des voitures connectĂ©es.

    Discrimination

    Selon le contenu de la plainte, Google discrimine certains moteurs de recherche offrant certains services commerciaux, comme le voyage ou le bricolage, et bannirait l’accĂšs publicitaire Ă  d’autres concurrents comme Bing, Ă©crit The Associated Press.

    « Les utilisateurs ne bĂ©nĂ©ficient pas des bienfaits de la compĂ©tition, y compris la possibilitĂ© de services de meilleure qualitĂ© et d’une meilleure protection de leur vie privĂ©e »,a estimĂ© Phil Weiser, avocat gĂ©nĂ©ral du Colorado et chef de file du dĂ©pĂŽt de plainte, citĂ© par l’Associated Press.

    La veille, 10 États amĂ©ricains ont intentĂ© un procĂšs contre Google sur les mĂȘmes motifs. Ils pensent que l’entreprise aurait passĂ© un arrangement avec WhatsApp pour accĂ©der aux conversations, photos et vidĂ©os de millions d’utilisateurs de la messagerie. Cette action en justice Ă  l’encontre de Google est donc la troisiĂšme en quelques mois.

    Google n’est d'ailleurs pas la seule entreprise dans le viseur de l’administration judiciaire amĂ©ricaine. Le 9 dĂ©cembre, Facebook a Ă©tĂ© attaquĂ© par la Federal Trade Commission ainsi que 48 États et territoires amĂ©ricains, Ă©galement pour abus de position dominante.

  • Oculus rappelle massivement ses Quest 2

    Le concepteur de casques de rĂ©alitĂ© virtuelle, averti depuis dĂ©cembre dernier de la prĂ©sence d’une substance irritante dans la mousse de ses Oculus Quest 2, vient d’annoncer le rappel de ses dispositifs de VR, la suspension de leur commercialisation et le remplacement du revĂȘtement en mousse par du silicone.

  • Quel rĂŽle ont jouĂ© les rĂ©seaux sociaux dans l’attaque de Buffalo ?

    La tuerie de masse perpĂ©trĂ©e samedi 14 mai Ă  Buffalo a Ă©tĂ© retransmise en direct sur Twitch. L’État de New York a ouvert une enquĂȘte pour dĂ©terminer le rĂŽle jouĂ© par les rĂ©seaux sociaux dans l’attaque.

  • Reporters sans frontiĂšres dĂ©pose plainte contre Facebook

    L’ONG a dĂ©posĂ© une plainte auprĂšs du procureur de la RĂ©publique de Paris lundi contre le gĂ©ant des rĂ©seaux sociaux. Il l’accuse de laisser fleurir des discours de haine envers plusieurs mĂ©dias ou de laisser libre cours Ă  un discours complotiste sur le coronavirus en contradiction avec ses engagements.

    En Australie aprĂšs avoir bloquĂ© l’accĂšs Ă  plusieurs organes de presse, aux États-Unis pour des comportements d’antitrust, et maintenant en France pour son action insuffisante contre la dĂ©sinformation et les discours haineux.

    L’organisation non-gouvernementale (ONG) Reporters sans frontiĂšres (RSF) a dĂ©posĂ© plainte auprĂšs du procureur de la RĂ©publique de Paris pour « pratiques commerciales trompeuses », a-t-elle annoncĂ© dans un communiquĂ© de presse, ce lundi. L’ONG lui reproche une « prolifĂ©ration massive de haine en ligne et de fausses informations», en contradiction avec ses engagements affichĂ©s de lutter contre la dĂ©sinformation et les discours de haine.

    « Sur le fondement de constats d’huissier, de tĂ©moignages divers et de citations d’anciens salariĂ©s de l’entreprise, RSF dĂ©montre que les engagements de la sociĂ©tĂ© californienne auprĂšs des consommateurs reposent largement sur des allĂ©gations mensongĂšres », est-il Ă©crit.

    « Facebook ne signale pas »

    Dans le cadre des discours de haine, RSF prend exemple sur le journal satirique Charlie Hebdo, l’émission de TMC Quotidienou le quotidien rĂ©gional L’Union, en rĂ©fĂ©rence Ă  l’agression d’un de ses journalistes/photographes Ă  Reims fin fĂ©vrier dernier.

    Sur le Covid, RSF indique fournir deux constat d’huissiers «montrant la facilitĂ© d’accĂšs Ă  une sĂ©rie de contenus de dĂ©sinformation sur le Covid ayant une portĂ©e considĂ©rable, et que Facebook ne signale pas ».RSF cite notamment la diffusion massive des films complotistes Hold-Up et Manigances 19.

    La plainte vise Facebook France et Facebook Irlande et, selon le code de la consommation, sont passibles d’une amende pouvant Ă©quivaloir Ă  10 % du chiffre d’affaires de l’entreprise.

    Joint par Reuters,Facebook France s’est refusĂ© Ă  tout commentaire. Facebook France a rĂ©cemment lancĂ© une campagne intitulĂ©e « Unis contre les fausses informations sur le Covid-19 »,comme indiquĂ© dans un communiquĂ© de presse, le 9 mars dernier.

  • RĂ©seaux sociaux : Au Texas, une loi « anti-censure » bloquĂ©e par la Cour suprĂȘme

    La Cour suprĂȘme des Etats-Unis a bloquĂ© l’entrĂ©e en vigueur d’une loi texane interdisant aux gĂ©ants des mĂ©dias sociaux de censurer certains discours sur leurs plateformes.  

  • Sputnik et RT bloquĂ©s sur Facebook et Instagram

    Alors que la Commission europĂ©enne s'attaque aux mĂ©dias d'Etat russes, Meta, la sociĂ©tĂ© mĂšre de Facebook, a annoncĂ© lundi avoir bloquĂ© les pages de Russia Today (RT) et Sputnik en Union europĂ©enne (UE). 

  • Sputnik et RT bloquĂ©s sur Facebook et Instagram

    Alors que la Commission europĂ©enne s'attaque aux mĂ©dias d'Etat russes, Meta, la sociĂ©tĂ© mĂšre de Facebook, a annoncĂ© lundi avoir bloquĂ© les pages de Russia Today (RT) et Sputnik en Union europĂ©enne (UE). 

  • Sur Facebook et Instagram, les menaces de mort contre Poutine autorisĂ©es

    Guerre en Ukraine : Facebook et Instagram autorisent les messages violents contre l'armée et les dirigeants russes dans certains pays et sous certaines conditions.

  • Sur Facebook et Instagram, les menaces de mort contre Poutine autorisĂ©es

    Guerre en Ukraine : Facebook et Instagram autorisent les messages violents contre l'armée et les dirigeants russes dans certains pays et sous certaines conditions.

  • Transfert des donnĂ©es : la Cnil irlandaise menace une nouvelle fois Meta

    En Irlande, la Data Protection Commission (DPC), souhaite empĂȘcher Meta de transfĂ©rer les donnĂ©es de ses utilisateurs aux Etats-Unis.

  • Trump lance Truth Social, le rĂ©seau social de son nouveau mĂ©dia

    Le média a annoncé le lancement de Truth Social, un réseau social qui veut "se lever face à la tyrannie des Big Tech". Fusionné avec Digital World Acquisition Corp. et listé au Nasdaq, TMTG est évalué à 1,7 milliard de dollars.
  • Twitter a jouĂ© un rĂŽle dans l’attaque du Capitole. Pas Facebook. Ni Google

    A l’occasion d’une audience, les dirigeants de Google, Facebook et Twitter ont Ă©tĂ© questionnĂ©s par les membres de la Chambre des ReprĂ©sentants sur leur manque d’action pour lutter contre la dĂ©sinformation. Seul Jack Dorsey a admis que son rĂ©seau avait une responsabilitĂ© dans le mouvement insurrectionnel du 6 janvier dernier.

    « Vos plateformes ont-elles une responsabilitĂ© Ă  l’égard de l’élection prĂ©sidentielle et le mouvement [insurrectionnel contre le Capitole] ? Juste une rĂ©ponse par oui ou non», a demandĂ© Mike Doyle, Ă©lu dĂ©mocrate de la Pennsylvanie Ă  la Chambre des ReprĂ©sentants des États-Unis. De l’autre cĂŽtĂ© de l’écran, trois visages familiers : Ceux de Sundar Pichai, Mark Zuckerberg et Jack Dorsey, respectivement patrons de Google, Facebook et Twitter.

    Seul Jack Dorsey, patron de Twitter, a rĂ©pondu par l’affirmative avant d’ajouter « mais vous devez Ă©galement prendre en compte un Ă©cosystĂšme plus large ». Sundar Pichai et Mark Zuckerberg, interrogĂ©s en premier ont tous les deux esquivĂ© la question, le premier par une formule de communication, l’autre au prĂ©texte que la question Ă©tait trop complexe pour y rĂ©pondre par oui ou non. L’extrait a Ă©tĂ© extrait par le journal The Recount ici.

    La scĂšne se dĂ©roule ce jeudi 25 mars pour audition Ă  l’occasion de laquelle les patrons de Facebook, Google et Twitter ont Ă©tĂ© questionnĂ©s pendant plus de cinq heures par les membres du CongrĂšs amĂ©ricain sur leur manque d’action pour lutter contre la dĂ©sinformation, le 6 janvier dernier, et sur leur rĂŽle dans l’insurrection du Capitole, Ă  Washington, qui a fait cinq morts.

    Rafales de questions

    L’audition a tĂ©moignĂ© Ă©galement de l’insistance des pouvoirs publics amĂ©ricains Ă  rĂ©guler des entreprises dont l’hĂ©gĂ©monie questionne et inquiĂšte, aprĂšs une accĂ©lĂ©ration des accusations et poursuites judiciaires ces derniĂšres annĂ©es Ă  leur encontre.

    Les questions des membres de la Chambre se sont concentrĂ©es sur leur rĂŽle dans la propagation de fausses informations quant Ă  l’issue de l’élection prĂ©sidentielle, la remise en question de la crise du coronavirus, les dangers de tels outils dans les mains des enfants ainsi que sur les ambitions financiĂšres des entreprises Ă  maintenir leurs usagers actifs en leur fournissant un contenu volontairement clivant.

    « Vous n’ĂȘtes pas juste des passagers clandestins Â», a rĂ©torquĂ© Franck Pallone, Ă©lu dĂ©mocrate du New Jersey. « Vous faites de l’argent [de ce type de commerce]. »

    Certains Républicains ont également accusé ces entreprises de favoriser les opinions progressistes au dépend des idées conservatrices.

    Intouchables

    En réponse, les trois dirigeants ont défendu leur politique de lutte contre la désinformation ou les commentaires racistes à coup de chiffres. Sundar Pichai a rappelé que YouTube avait "supprimé 850 000 vidéos et bloqué prÚs de 100 millions de publicités liées au Covid-19 en 2020", une politique mise en place en décembre dernier.

    Les rĂ©ponses Ă©vasives des trois dirigeants n’ont pas semblĂ© ĂȘtre du goĂ»t des Ă©lus, dont beaucoup s’étaient fait une opinion avant mĂȘme le dĂ©but de l’audience rapportent les mĂ©dias amĂ©ricains.

    « Il y a cet air comme si vous sembliez intouchables dans les rĂ©ponses aux questions auxquelles vous ĂȘtes sommĂ©s de rĂ©pondre », a relevĂ© un membre de la Chambre, citĂ© par le New York Times.

  • Twitter et Facebook suspendent les comptes de Donald Trump

    Les géants du Net ont suspendu temporairement les comptes de Donald Trump, citant plusieurs violations à leur politique à la suite de propos encourageants les débordements devant le Capitole américain, à Washington, mercredi 6 janvier.

    L’homme le plus puissant au monde ne peut actuellement plus s’exprimer sur plusieurs de ses comptes sur les rĂ©seaux sociaux.

    Twitter, Facebook et Instagram ont unilatĂ©ralement dĂ©cidĂ© de suspendre temporairement chacun des comptes du PrĂ©sident des États-Unis, mercredi 6 janvier, aprĂšs que plusieurs de ses propos aient Ă©tĂ© jugĂ©s comme ayant enfreint leurs politiques.

    Ils font référence aux propos tenus aux travers de tweets, posts ou vidéos par Donald Trump appelant les manifestants à se rendre devant le Capitole, à Washington, pour interrompre la certification de la victoire de Joe Biden par ses membres, le 6 janvier, ainsi que son refus de reconnaßtre la victoire électorale de ce dernier.

    Blocage dans l'attente du retrait

    « A la suite des violences sans prĂ©cĂ©dents Ă  Washington D.C, nous avons retirĂ© trois tweets du compte de Donald Trump pour violations sĂ©vĂšres et rĂ©pĂ©tĂ©es de notre politique d’intĂ©gritĂ© civique. [
] Cela suppose la blocage de ce compte pour les prochaines 12h Ă  la suite de la suppression de ces tweets. Le compte restera bloquĂ© tant qu’ils ne seront pas retirĂ©s Â», a d’abord indiquĂ© le compte Twitter Safety dans un thread.

    Twitter a mĂȘme ajoutĂ© que toute nouvelle infraction Ă  sa politique entraĂźnerait une suspension dĂ©finitive.

    « Nous avons dĂ©terminĂ© deux violations de notre politique sur la page de Donald Trump provoquant une suspension de 24 heures et l’empĂȘchant ainsi de poster sur la plateforme durant cette pĂ©riode Â», a communiquĂ© le compte Facebook Newsroom sur Twitter un peu plus tard dans la journĂ©e. Une suspension similaire a Ă©tĂ© prise par Instagram, propriĂ©tĂ© de Facebook.

    Dans le mĂȘme temps, YouTube a dĂ©cidĂ© de retirer une vidĂ©o de Donald Trump appelant les manifestants Ă  rentrer chez eux tout en continuant Ă  nier le rĂ©sultat de l’élection prĂ©sidentielle, a confirmĂ© le journal The Verge. Ces propos vont Ă  l’encontre d’une politique prise par l’entreprise en dĂ©cembre 2020 qui vise Ă  supprimer toute vidĂ©o remettant en cause l’issue de l’élection prĂ©sidentielle amĂ©ricaine.


    Mise Ă  jour du 7 janvier 17h

    Mark Zuckerberg annonce le blocage des comptes Facebook et instagram du président "indéfiniment".

    Nous pensons que les risques de permettre au président de continuer à utiliser nos services pendant cette période sont tout simplement trop grands. Par conséquent, nous étendons le blocage que nous avons placé sur ses comptes Facebook et Instagram indéfiniment et pendant au moins les deux prochaines semaines jusqu'à ce que la transition pacifique du pouvoir soit terminée.