Instagram

  • Business Suite: Instagram, Messenger et Facebook dans une même interface

    L’entreprise de Mark Zuckerberg lance dès aujourd’hui une toute nouvelle fonction à l’attention des PME. Facebook Business Suite ne propose guère de nouvelles fonctionnalités, mais unifie dans une même interface les comptes Facebook, Messenger et Instagram des entreprises. 

    Depuis le temps que l’on en parle ! L’unification des Facebook, Instagram et Messenger arrive, mais pas par où on l’attendait. Le géant a déjà commencé à renforcer les liens ici entre son réseau social et Instagram, là entre la messagerie d’Instagram et Messenger. Mais il s’était jusqu’à présent retenu d’unifier ses trois applications dans une seule interface. C’est désormais chose faite, mais uniquement pour les PME. 

    Facebook annonce en effet le lancement d’une nouvelle offre baptisée Facebook Business Suite. Celle-ci permet par le biais d’une seule et même interface de gérer de manière centralisée des pages et des profils, peu importe qu’ils viennent de Facebook, de Messenger ou d’Instagram. 

    Une interface pour les unir tous

    Ainsi, cette Business Suite permet de publier simultanément sur Facebook et Instagram, de gérer messages, notifications et alertes provenant des trois applications et de visualiser les campagnes depuis un seul lieu. Et si la plupart de ces fonctionnalités existaient déjà par le biais de Pages Manager pour surveiller les notifications et les messages sur Messenger, Facebook et Instagram programmer la publication simultanément sur la plateforme de partage de photos et sur le réseau social, le géant pousse un peu plus la centralisation avec sa Business Suite.

    Cette dernière est disponible dès à présent pour les TPE et PME partout dans le monde, à en croire Facebook, bien qu’il ne précise pas dans l’immédiat comment y accéder et que nous n’y soyons pas parvenus (mais nous ne désespérons pas). Il ne communique pas non plus sur les modalités de cette offre, sinon qu’elle sera disponible pour toutes les entreprises l’année prochaine.

  • Débordements à Washington : Les réseaux sociaux responsables ?

    Si le président des États-Unis, par sa rhétorique conspirationniste et ses attaques répétées contre la légitimité de l’élection américaine, a une grande responsabilité dans les débordements des manifestants – pour beaucoup ses supporters – à Washington, qu'en est-il des géants du Net qui ne manquent pas de le condamner ?

    Les réseaux sociaux ont-ils une part de responsabilité dans l’invasion du Capitole, à Washington le 6 janvier 2021, par des manifestants – pour l’écrasante majorité d’entre eux – Pro-Trump ?

    C’est ce que pointent du doigt plusieurs médias américains, évoquant une campagne de rassemblement largement permise et organisée via Twitter, Facebook ou YouTube mais aussi plusieurs réseaux sociaux d’extrême droite comme Parler ou Qanon, alors même que Facebook, Twitter, Instagram ont décidé de suspendre l’activité des comptes de Donald Trump à la suite des débordements.

    « Nous voyons un important volume [d’une violente] rhétorique en ligne. Et nous voyons cette rhétorique - alimentée par les suspicions de fraudes électorales de Donald Trump – à travers l’ensemble des réseaux sociaux Â», a indiqué Daniel Jones, président de l’organisation Advance Democracy, auprès de USA Today.

    Sur certains des réseaux sociaux et sites les plus acquis à Donald Trump comme TheDonald.win, 80 % des messages appelaient à la violence, rappelle USA Today.

    Peu de contrôle

    Alors même que certains réseaux sociaux ont pris des mesures contre la rhétorique conspirationniste de Trump, comme la suppression de toute vidéo remettant en cause l’issue de l’élection par YouTube en décembre ou l’inscription d’une mention d’alerte sur Twitter, pour maintenir la vérité, certains journalistes s’interrogent sur le peu de contrôle pratiqué par ces entreprises.

    « Quelle vérité ? Celle objective de la défaite de Trump lors de l’élection présidentielle de 2020 ? Ou celle, réalité alternative, trop longtemps soutenue par Twitter, Facebook, Youtube et autres ? Â», écrit Ryan Mac, journaliste chez BuzzFeed, en référence à un tweet de Trump où celui-ci demandait que « les États-Unis demandent la vérité Â» après les résultats de l’élection.

    Twitter et Facebook ont régulièrement été au cœur de controverses quant à leur gestion des données des utilisateurs et aux dangers de leur service face à une population n’étant soumise qu’à des informations traitées pour satisfaire et confirmer leurs opinions et vision du monde.

  • Des changements annoncés pour Facebook et Instagram

    Nick Clegg a promis moins de politique sur Facebook ainsi que de nouvelles mesures pour protéger les adolescents sur Instagram. 

  • Donald Trump de retour sur les réseaux d’ici quelques mois

    Banni de nombreux réseaux sociaux à la suite de plusieurs déclarations incendiaires, Donald Trump pourrait y revenir d’ici deux à trois mois selon un proche conseiller. Mais sur son propre réseau.

    Quelques mois après avoir vu l’ensemble de ses réseaux sociaux coupé à la suite de déclarations controversées lors des incidents autour du Capitole, à Washington, le 6 janvier dernier, ou sur le bon déroulement du processus de décompte des voix lors de l’élection présidentielle, Donald Trump pourrait refaire surface très vite.

    L’ancien président des États-Unis Donald Trump pourrait revenir sur les réseaux sociaux dans les prochains mois a indiqué Jason Miller, son stratégiste en communication, sur le plateau de Fox News, ce 21 mars, dans une déclaration jugée suffisamment sérieuse pour être reprise par l’ensemble de la presse américaine, agences de presse comprises.

    Mais ce retour ne devrait pas intervenir sur les réseaux sociaux traditionnels comme Twitter, Facebook ou Instagram… mais sur le sien.

    Redéfinir les règles du jeu

    « Je pense que nous reverrons Donald Trump sur les réseaux sociaux dans deux ou trois mois, sur sa propre plateforme Â», a-t-il déclaré sur le plateau de #MediaBuzz, ajoutant que son retour « devrait complètement redéfinir les règles du jeu».

    Jason Miller a également indiqué que l’ancien président des États-Unis a été approché par plusieurs entreprises pour l’élaboration de ce nouveau réseau social, assurant que « des dizaines de millions Â» de personnes devraient être attirées par la plateforme.

    Bien que défait par Joe Biden lors de la dernière élection, Donald Trump demeure une personnalité très influente au sein du parti républicain. Un récent sondage pour CNBC montrait que 74 % des Républicains lui souhaitaient un avenir en politique lorsque 48 % voulait qu’il conserve la direction du parti.

  • Guerre en Ukraine : Instagram inaccessible en Russie

    Le régulateur des télécoms russe Roskomnadzor, a déclaré qu'Instagram serait bloqué dans le pays suite aux « appels à la violence Â» contre les soldats russes.

  • Guerre en Ukraine : Instagram inaccessible en Russie

    Le régulateur des télécoms russe Roskomnadzor, a déclaré qu'Instagram serait bloqué dans le pays suite aux « appels à la violence Â» contre les soldats russes.

  • Guerre en Ukraine : TikTok véhicule de la désinformation

    D’après NewsGuard, le manque d’étiquetage, de modération et la mise en avant d'un contenu qui maintient les utilisateurssur l’application, facilite la désinformation.

  • Instagram prépare une appli pour les moins de 13 ans

    La jeunesse est désormais « une priorité Â» selon un mail interne obtenu et consulté par BuzzFeed alors même que l’application est la cible de critiques pour un manque de protection de ses jeunes utilisateurs.

    Instagram souhaite élargir sa base d’utilisateurs aux pré-adolescents.

    Le réseau social envisagerait de développer une application pour les moins de 13 ans, selon un mail interne de Vishal Shah, vice-président produit chez Instagram, et révélé par BuzzFeed.

    « Instagram accélérera sa politique d’intégrité et de vie privée pour garantir la meilleure expérience possible pour les adolescents et souhaite développer une version de l’application destinée aux moins de 13 ans Â», a indiqué Vishal Shah, avant d’ajouter que la jeunesse avait été ajoutée à leur liste des priorités.

    Selon Buzzfeed, l’application sera supervisée par Adam Mosseri, chef d’Instagram, et dirigée par Pavni Diwanji, son vice-président et ancien de chez Facebook ayant supervisé YouTube Kids.

    Mieux protéger les adolescents

    L’annonce du développement d’une telle application intervient deux jours après un communiqué de presse de l’entreprise assurant de sa volonté de mieux protéger les adolescents après avoir été la cible de critiques l’accusant d’un trop grand manque de protection.

    Instagram avait alors mis en place un guide à l’usage des parents et introduit une nouvelle fonctionnalité qui empêchait tout adulte d’envoyer un message à des utilisateurs de moins de 18 ans qui ne les suivraient pas.

  • Le temps du copycat

    L’application de chat-audio la plus populaire du moment voit beaucoup de ses concurrents reprendre son idée et l’incorporer à leurs applications. Dans le même temps, Instagram et Snapchat se mettent à faire du TikTok. Et Slack fait de l'Instagram aussi.

    Investissez le marché avec une idée novatrice. Captez ce nouveau marché. Faites-vous copier par la concurrence. Les entreprises des Big Tech sont coutumières du fait. Facebook a créé Stories pour faire concurrence à Snapchat. Facebook a fini par racheter Instagram après que celui-ci lui prenait des parts de marché. Etc.

    La donne n’a pas changé en 2021. Après Twitter et son Communities, voici que d’autres entreprises se tournent vers des applications-clones de Clubhouse, l’application de chat-audio la plus populaire du moment. Lorsque Instagram copie TikTok. Et que Slack copie Instagram.

    Ainsi, Discord, LinkedIn, Spotify ou encore Slack ont tous annoncé développer des applications de chat-audios similaires à Clubhouse depuis le début de la semaine, alors que l’entreprise surfe sur un succès insolent. Clubhouse est en effet passée de deux millions d’utilisateurs en janvier dernier à dix millions en février, selon les chiffres communiqués par son patron Paul Davidson, lors d’un town-hall meeting. Elle n’en comptait que 1500 en mai 2020.

    Jeu des sept différences

    Bien sûr, toutes ont leur spécificité propre qui les distingue de Clubhouse. Dans le cas de LinkedIn, par exemple, l’application sera directement reliée à Stories, la fonction live-vidéo de LinkedIn, lequel a créé un nouveau statut de créateur pour que ses utilisateurs puissent configurer leur profil et en suivre d’autres.

    Celui de Discord s’appelle Stage Channels et est disponible sur toutes les plateformes depuis le 31 mars, faisant d’elle la première application de chat-audio disponible ailleurs que via Ios ou Android. Spotify a de son côté fait le pari du rachat en acquérant Locker Room, rapporte The Verge, une opération dont le montant n’a pas été révélé.

    Le patron de Slack, Steward Butterfield, a même révélé travailler sur une version de Clubhouse pour Slack... lors d’une interview sur Clubhouse avec Josh Constine, journaliste de TechCrunch.

    Slack fait du Instagram, Instagram et Snapchat font du TikTok

    Mais le serpent qui se mord la queue ne s’arrête pas là. Dans cette même interview sur Clubhouse, Steward Butterfield a également révélé travailler sur une version Slack de Stories, l’outil d’Instagram et de Snapchat.

    « Pour les gens le fait d’être capable de s’envoyer constamment des messages va juste accroître leur envie de se diriger vers ce mode de communication », a admis Steward Butterfield à Josh Constine. Slack rejoint donc LinkedIn et YouTube dans l’utilisation de ce type d’application.

    TikTok n’est également pas en reste face à la concurrence. Instagram vient d’annoncer le lancement de Remix, une application permettant de s’enregistrer en vidéo en réaction à une autre vidéo, une fonctionnalité calquée sur le mode « Duets Â» de TikTok. Toujours selon TechCrunch, Snapchat serait également en développement sur la même fonctionnalité, après avoir lancé Spotlight. Son nom ? Remix.

    Le monde est petit. Et décidément très créatif.

  • Les conséquences de l’arrêt de Facebook, WhatsApp, Messenger et Instagram

    Le 4 octobre 2021 restera le jour où Facebook, Instagram, WhatsApp et Messenger ont cessé de fonctionner pendant six heures, la faute à un changement dans le protocole BGP qui a fait disparaître les routes d’accès vers l’adresse IP. Un véritable camouflet pour une entreprise déjà sous le feu des projecteurs la veille et dont les faiblesses et errements ne cessent de s’accumuler.

  • Meta lance sa chasse à la désinformation

    Meta a annoncé le lancement de plusieurs initiatives en collaboration avec des médias, visant à décrypter les informations en ligne et à lutter contre la désinformation. L’entreprise va également lancer un « centre opérationnel virtuel » afin de stopper les abus sur ses plateformes.

  • Meta menace de priver l’Europe de Facebook et Instagram

    Dans un document remis au gendarme américain des marchés financiers, Meta évoque un éventuel retrait d’Europe si le vieux continent ne se dote pas d’un cadre plus favorable au transfert des données.  

  • Méta réplique : Facebook et Instagram ne quitteront pas l’Europe

    La société mère de Facebook et Instagram à fermement démenti vouloir retirer certains de ses services d’Europe, et en profite pour réaffirmer ses préoccupations vis-à-vis du cadre transatlantique du transfert des données.

  • Sputnik et RT bloqués sur Facebook et Instagram

    Alors que la Commission européenne s'attaque aux médias d'Etat russes, Meta, la société mère de Facebook, a annoncé lundi avoir bloqué les pages de Russia Today (RT) et Sputnik en Union européenne (UE). 

  • Sputnik et RT bloqués sur Facebook et Instagram

    Alors que la Commission européenne s'attaque aux médias d'Etat russes, Meta, la société mère de Facebook, a annoncé lundi avoir bloqué les pages de Russia Today (RT) et Sputnik en Union européenne (UE). 

  • Sur Facebook et Instagram, les menaces de mort contre Poutine autorisées

    Guerre en Ukraine : Facebook et Instagram autorisent les messages violents contre l'armée et les dirigeants russes dans certains pays et sous certaines conditions.

  • Sur Facebook et Instagram, les menaces de mort contre Poutine autorisées

    Guerre en Ukraine : Facebook et Instagram autorisent les messages violents contre l'armée et les dirigeants russes dans certains pays et sous certaines conditions.

  • Transfert des données : la Cnil irlandaise menace une nouvelle fois Meta

    En Irlande, la Data Protection Commission (DPC), souhaite empêcher Meta de transférer les données de ses utilisateurs aux Etats-Unis.

  • Twitter et Facebook suspendent les comptes de Donald Trump

    Les géants du Net ont suspendu temporairement les comptes de Donald Trump, citant plusieurs violations à leur politique à la suite de propos encourageants les débordements devant le Capitole américain, à Washington, mercredi 6 janvier.

    L’homme le plus puissant au monde ne peut actuellement plus s’exprimer sur plusieurs de ses comptes sur les réseaux sociaux.

    Twitter, Facebook et Instagram ont unilatéralement décidé de suspendre temporairement chacun des comptes du Président des États-Unis, mercredi 6 janvier, après que plusieurs de ses propos aient été jugés comme ayant enfreint leurs politiques.

    Ils font référence aux propos tenus aux travers de tweets, posts ou vidéos par Donald Trump appelant les manifestants à se rendre devant le Capitole, à Washington, pour interrompre la certification de la victoire de Joe Biden par ses membres, le 6 janvier, ainsi que son refus de reconnaître la victoire électorale de ce dernier.

    Blocage dans l'attente du retrait

    « A la suite des violences sans précédents à Washington D.C, nous avons retiré trois tweets du compte de Donald Trump pour violations sévères et répétées de notre politique d’intégrité civique. […] Cela suppose la blocage de ce compte pour les prochaines 12h à la suite de la suppression de ces tweets. Le compte restera bloqué tant qu’ils ne seront pas retirés Â», a d’abord indiqué le compte Twitter Safety dans un thread.

    Twitter a même ajouté que toute nouvelle infraction à sa politique entraînerait une suspension définitive.

    « Nous avons déterminé deux violations de notre politique sur la page de Donald Trump provoquant une suspension de 24 heures et l’empêchant ainsi de poster sur la plateforme durant cette période Â», a communiqué le compte Facebook Newsroom sur Twitter un peu plus tard dans la journée. Une suspension similaire a été prise par Instagram, propriété de Facebook.

    Dans le même temps, YouTube a décidé de retirer une vidéo de Donald Trump appelant les manifestants à rentrer chez eux tout en continuant à nier le résultat de l’élection présidentielle, a confirmé le journal The Verge. Ces propos vont à l’encontre d’une politique prise par l’entreprise en décembre 2020 qui vise à supprimer toute vidéo remettant en cause l’issue de l’élection présidentielle américaine.


    Mise à jour du 7 janvier 17h

    Mark Zuckerberg annonce le blocage des comptes Facebook et instagram du président "indéfiniment".

    Nous pensons que les risques de permettre au président de continuer à utiliser nos services pendant cette période sont tout simplement trop grands. Par conséquent, nous étendons le blocage que nous avons placé sur ses comptes Facebook et Instagram indéfiniment et pendant au moins les deux prochaines semaines jusqu'à ce que la transition pacifique du pouvoir soit terminée.